Absolument emballée par "Au bout de ma souvenance".
Un livre que j'aurais aimé écrire... Vous l'avez fait avec brio.
Je vous félicite.
Au bout de ma souvenance (commentaires sur la Journée du Manuscrit 2015 et sur Amazon):
Les mots s’alignent et s'allient dans un foisonnement d'une beauté indescriptible. Les mots se doublent et se dédoublent comme Marina et Hélène. Les mots se parlent et s'épargnent la bourrasque infernale de l'ennui. la poésie coule, s'écoule, dégoutte et dégouline des pores monstrueusement agréables de ce texte. C'est un fleuve de charme qui court se jeter dans l'océan de la vénusté. j'en suis séduit. Cet auteur est plein de charme. pétri de talent. Il y'en a peu de cette envergure avec une trame si subtile que complexe mais bien maîtrisé. Pour ce premier chapitre, vous méritez, cher auteur, que l'on vous tire le chapeau. Un vrai. Un sombrero !
Sujet original, sans doute très difficile à traiter pour que le lecteur non averti puisse à la fois comprendre et se passionner pour ces deux vies qui luttent pour habiter un même corps. Ici c'est une réussite: le lecteur se laisse toucher par cette personnalité changeante et "remercie" Giovani pour le soutien qu'il apporte à Hélène/Marina dans son terrible dilemme. Avec lui, il cherche à comprendre. Le choc de ces deux personnalités si différentes, mais qui chacune semble avoir sa raison d'être, à la fois intrigue et surprend. On ne peut abandonner la lecture de ce livre avant la fin, c'est une véritable aventure qui nous fait naviguer entre réalité et passé, à l'intérieur du moi. Bravo!
Le lien invisible (commentaires sur le site et sur amazon, fnac) :
Livre recommandé par L'INREES:
Ce jeune homme a trébuché sur le temps et quelques nouvelles du jardin des hommes (commentaire sur le site):
Bonjour. Je suis une étudiante en cinéma d'animation 2D/3D. Lors du salon du livre de Cabourg, l'été dernier, j'ai croisé votre route et
découvert votre livre de nouvelles "Ce jeune homme a trébuché sur le temps et quelques nouvelles du jardin des hommes". Ce recueil de nouvelles m'a bouleversée (...) Lorsque j'ai lu votre
nouvelle "L'homme aux myosotis ou Valentin sorti du cadre" je voyais le tableau et le personnage comme si j'étais en train de les peindre. D'imaginer à la fois cette histoire en film et en
animation (lorsque le personnage sort du cadre et se balade sur les toits de paris) fut évident. C'est un beau récit sur le souvenir intarissable et sur l'amour (...) Dans cette nouvelle je
retrouve une forme d'immortalité de la mémoire chez Louise. Cela peut paraître étrange mais cette nouvelle a quelque chose de mystique et qui transgresse les barrières du réel et du temps(...)
Avec ma fervente admiration
Hannah F.